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Agriculteur, je m’informe

/*! elementor – v3.18.0 – 20-12-2023 */ .elementor-heading-title{padding:0;margin:0;line-height:1}.elementor-widget-heading .elementor-heading-title[class*=elementor-size-]>a{color:inherit;font-size:inherit;line-height:inherit}.elementor-widget-heading .elementor-heading-title.elementor-size-small{font-size:15px}.elementor-widget-heading .elementor-heading-title.elementor-size-medium{font-size:19px}.elementor-widget-heading .elementor-heading-title.elementor-size-large{font-size:29px}.elementor-widget-heading .elementor-heading-title.elementor-size-xl{font-size:39px}.elementor-widget-heading .elementor-heading-title.elementor-size-xxl{font-size:59px} Le déroulement de la saison apicole La vie et l’activité d’une colonie varient au cours des saisons. Cette évolution de la biologie d’une ruche au fil de l’année impacte directement les travaux de l’apiculteur, dont les différentes tâches s’adaptent et dépendent de l’état de la colonie. A la sortie de l’hiver, lorsque les températures augmentent et que les premières floraisons arrivent, la colonie reprend progressivement son activité. Les ouvrières récoltent nectar et pollen et la reine recommence à pondre et le nombre d’individu augmente. L’apiculteur va alors visiter ses ruches afin de vérifier l’état de ses colonies après l’hiver et réorganiser son cheptel. /*! elementor – v3.18.0 – 20-12-2023 */ .elementor-widget-image{text-align:center}.elementor-widget-image a{display:inline-block}.elementor-widget-image a img[src$= ».svg »]{width:48px}.elementor-widget-image img{vertical-align:middle;display:inline-block} Au début du printemps, la population de la colonie est passée de quelques milliers d’individus à des dizaines de milliers d’abeilles. Elle a atteint son maximum des capacités de production. Les abeilles bâtissent des cadres pour développer leur couvain et stocker du miel et du pollen. L’effectif des colonies étant très élevée, la place peut venir à manquer dans la ruche. Une partie de la colonie quitte la ruche pour aller former dans un nouvel endroit une nouvelle colonie, c’est l’essaimage. Durant ces mois où les ruches sont populeuses, l’apiculteur va pouvoir accroître et renouveler son cheptel en faisant de la reproduction, de l’élevage de reine ou en produisant des essaims par divisons de ses colonies. Au milieu du printemps, les sources de nectar sont abondantes dues aux nombreuses floraisons de cette période. Les abeilles récoltent beaucoup de nectar qu’elles transforment en miel. C’est à ce moment que l’apiculteur va poser une ou plusieurs extensions de la ruche, les hausses, où les abeilles vont stocker le miel. L’apiculteur pose et récolte les hausses en fonction des floraisons et des types de miel qu’il veut produire. Par exemple, pour produire un miel monofloral (dont le nectar est principalement issu des fleurs d’une seule espèce), il va mettre ses hausses juste avant la floraison de la fleur d’intérêt et les lever juste après que celles-ci ont fanées. Suivant les régions, il peut y avoir plusieurs récoltes et l’apiculteur peut ainsi proposer plusieurs types de miels.  Au milieu de l’été, les ressources nutritives se font plus rares et les apiculteurs ont pour la majorité finis leurs récoltes. La population dans la ruche décline et les mâles, devenues des bouches inutiles à nourrir sont expulsés de la ruche. Les effectifs de parasites de la colonie, Varroa destructor sont très élevées et des traitements contre cet acarien sont effectués. L’apiculteur peut aussi compléter les réserves de la colonie avant l’hiver. Lorsque l’hiver arrive, les milliers d’abeilles restantes se regroupent au centre des la ruche en grappe pour optimiser leur réchauffement. L’apiculteur ouvre le moins possible ses ruches pour ne pas les refroidir. Il va aussi mettre en œuvre un second traitement contre Varroa destructor. Elles hivernent ainsi jusqu’au printemps suivant. Un apiculteur est considéré comme professionnel lorsque son cheptel est supérieur à 150 colonies. En plus des travaux sur les ruches, l’apiculteur doit se préoccuper au cours de l’année de sélectionner les bonnes colonies pour renouveler son cheptel, d’extraire le miel, le conditionner et parfois le commercialiser.  D’autres types d’activités peuvent aussi s’ajouter, comme la production de gelée royale, de pollen et de propolis, ou la transformation des produits de la ruche en confiseries, gâteaux, etc. Être apiculteur, c’est aussi être éleveur, conditionneurs, commerçant, confiseurs ! /*! elementor – v3.18.0 – 20-12-2023 */ .elementor-column .elementor-spacer-inner{height:var(–spacer-size)}.e-con{–container-widget-width:100%}.e-con-inner>.elementor-widget-spacer,.e-con>.elementor-widget-spacer{width:var(–container-widget-width,var(–spacer-size));–align-self:var(–container-widget-align-self,initial);–flex-shrink:0}.e-con-inner>.elementor-widget-spacer>.elementor-widget-container,.e-con>.elementor-widget-spacer>.elementor-widget-container{height:100%;width:100%}.e-con-inner>.elementor-widget-spacer>.elementor-widget-container>.elementor-spacer,.e-con>.elementor-widget-spacer>.elementor-widget-container>.elementor-spacer{height:100%}.e-con-inner>.elementor-widget-spacer>.elementor-widget-container>.elementor-spacer>.elementor-spacer-inner,.e-con>.elementor-widget-spacer>.elementor-widget-container>.elementor-spacer>.elementor-spacer-inner{height:var(–container-widget-height,var(–spacer-size))}.e-con-inner>.elementor-widget-spacer.elementor-widget-empty,.e-con>.elementor-widget-spacer.elementor-widget-empty{position:relative;min-height:22px;min-width:22px}.e-con-inner>.elementor-widget-spacer.elementor-widget-empty .elementor-widget-empty-icon,.e-con>.elementor-widget-spacer.elementor-widget-empty .elementor-widget-empty-icon{position:absolute;top:0;bottom:0;left:0;right:0;margin:auto;padding:0;width:22px;height:22px} Les plantes mellifères Les abeilles ont besoin de nectar ou de miellat qui sont riches en glucides et donc des sources d’énergie pour la colonie. Elles ont aussi besoin d’apports suffisants en pollen, qui est leur unique source de protéines et qui est nécessaire au développement des larves.  Voici une liste, non exhaustive et en fonction saisons, des plantes mellifères qu’il est intéressant de favoriser chez soi : Début de printemps : arbres fruitiers, colza, pissenlit, aubépines Fin de printemps : robinier faux acacia Eté : tilleul, châtaignier, tournesol, sarrasin Automne : lierre, bruyère Actions en faveur des pollinisateurs Les bonnes pratiques d’épandage Les abeilles et leurs ressources nutritives peuvent être exposées aux molécules épandues. Ces expositions peuvent provoquer des intoxications aigües (mortalité des insectes) ou avoir des effets chroniques (baisse de la longévité des abeilles, impacts sur la reproduction). Afin de limiter au maximum l’exposition des butineuses aux résidus de pesticides et proposer une nourriture de qualité aux colonies d’abeilles, il est impératif de : Respecter la réglementation en vigueur : pour en savoir plus consultez l’article sur l’arrêté abeilles. Porter une attention particulière à la qualité de pulvérisation et à l’utilisation de dispositifs limitant la dérive. Favoriser la disponibilité des ressources dans le paysage   Les ressources florales sont essentielles pour la survie des abeilles, qui jouent un rôle crucial dans la pollinisation de nombreuses cultures et plantes sauvages. Les abeilles dépendent des fleurs pour leur alimentation, collectant du nectar pour produire du miel et du pollen pour nourrir leurs larves. Une diversité de fleurs est nécessaire pour fournir une alimentation équilibrée tout au long de l’année. Cependant, les aléas dus au changement climatique et à l’uniformisation des paysages agricoles réduisent la quantité et la qualité des ressources disponibles pour les pollinisateurs.  L’offre alimentaire dans les paysages peut être favorisée de plusieurs manières : Mise en place de cultures attractives, dont les espèces semées atteignent le stade floraison (colza, légumineuses).  Introduction de haies et de jachères fleuries, apportant à la fois des ressources nutritives et un habitat aux pollinisateurs.  Avoir des prairies permanentes ou temporaires, qui sont sources de fleurs et font d’excellents emplacements de ruchers. Il est essentiel de dialoguer et de travailler ensemble entre apiculteurs et agriculteurs pour mieux comprendre les enjeux et les contraintes de chacun. N’hésitez pas à prendre contact avec les apiculteurs de votre territoire ! /*! elementor – v3.18.0 – 20-12-2023 */ .elementor-widget-divider{–divider-border-style:none;–divider-border-width:1px;–divider-color:#0c0d0e;–divider-icon-size:20px;–divider-element-spacing:10px;–divider-pattern-height:24px;–divider-pattern-size:20px;–divider-pattern-url:none;–divider-pattern-repeat:repeat-x}.elementor-widget-divider .elementor-divider{display:flex}.elementor-widget-divider .elementor-divider__text{font-size:15px;line-height:1;max-width:95%}.elementor-widget-divider .elementor-divider__element{margin:0 var(–divider-element-spacing);flex-shrink:0}.elementor-widget-divider .elementor-icon{font-size:var(–divider-icon-size)}.elementor-widget-divider .elementor-divider-separator{display:flex;margin:0;direction:ltr}.elementor-widget-divider–view-line_icon .elementor-divider-separator,.elementor-widget-divider–view-line_text .elementor-divider-separator{align-items:center}.elementor-widget-divider–view-line_icon .elementor-divider-separator:after,.elementor-widget-divider–view-line_icon

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Les miels d’Ile-de-france

Des miels variés sont produits en Ile-de-France. Les principaux miels récoltés dans la région sont les miels polyfloraux de printemps et d’été, et les miels monofloraux d’acacia, de tilleul, de châtaignier, de lavande et de sarrasin.  MIEL D’ACACIA Couleur : jaune clair, doré, limpide Texture : liquide La floraison du robinier faux-acacia se déroule à la fin du printemps, entre fin mai et début juin. Les fleurs de cet arbre sont blanches, disposées en grappes pendantes parfumées et mellifères. La production de nectar par ces fleurs est très sensible à la météo, les températures devant être élevées, autour de 20°C, avec peu de pluie. Les miellées sont donc très fluctuantes en fonction des années, sa période de floraison tombant à des mois de l’année où les températures peuvent être basse et la pluviométrie élevée. Le miel d’acacia a une odeur subtile. Il est doux, suave et sans arrière-goût, avec un arôme floral et des arômes faibles de vanille. MIEL DE TILLEUL Couleur : variant entre le jaune clair et foncé Texture : crémeux. Miel assez liquide avec une cristallisation rapide. Le tilleul fleurit en début d’été, entre juin et juillet, sur une période assez courte de généralement une semaine.  La période de floraison étant assez courte et des conditions climatiques défavorables (pluie et températures basses) limitant la production de nectar et la sortie des abeilles, les quantités récoltées sont limitées. L’Ile-de-France est une des principales régions productrices de miel de tilleul. Ce miel a une odeur parfumée caractéristique et un goût assez aromatique. Son arôme est intense et peut être légèrement mentholé. Il est crémeux et a une cristallisation fine.  MIEL DE CHATAIGNIER Couleur : foncée et ambrée Texture : liquide pendant plusieurs mois, plus cristallisation plus grossière. Le miel de châtaignier a une odeur forte et un gout assez corsé et boisée. Ce miel laisse une amertume marquée en fin de bouche. C’est un miel plutôt acide. Il fleurit à partir de juin et jusqu’en juillet.  MIEL DE SARRASIN Couleur : brun foncé, teintes rousses Texture : cristallisation fine, miel dur Le sarrasin est une variété cultivée par certains agriculteurs de la région. Le sarrasin fleurit en fin d’été. Son miel se cristallise et a un goût fort, corsé et persistant, accompagné une odeur forte.  MIEL DE LAVANDE Couleur : claire, blanche Texture : crémeuse, cristallisation fine Le miel de lavande a une saveur fruitée et délicate et est caractérisé par un goût long en bouche. Son odeur est typée. La récolte de miel de lavande se fait entre fin juin et début août, lorsque les champs de lavandes sont en fleurs. En Ile-de-France, quelques cultures de lavande sont présentes et nous permettent de faire du miel de lavande. MIEL DE PRINTEMPS Couleur : doré, blanc, clair Texture : crémeux, cristallisé Le miel de printemps est la première miellée de l’année. Miel polyfloral, ce miel est composé de nectars de fleurs de colza majoritairement, d’aubépines, de pissenlits et d’arbres fruitiers. Il possède une cristallisation très rapide à grains très fins, ce qui donne un miel crémeux facilement tartinable. Son goût est très doux. MIEL D’ETE Couleur : teinte très variable, souvent foncé et mat, de beige à brun. Texture : cristallisation plus ou moins homogène, souvent en gros grains. Le miel d’été résulte du butinage de plusieurs fleurs de cette saison par les abeilles : châtaigniers, tournesols, ronces, trèfles, et autres fleurs des prés. Il est plus fort que le miel de printemps, avec des arômes fruité, boisé et végétal plus prononcés. Sa teinte et son goût dépendent des fleurs visitées, mais ce miel a souvent une couleur assez vive. Sa texture est granuleuse.  

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L’arrêté abeilles

L’arrêté du 20 novembre 2021, relatif à la protection des abeilles et des autres insectes pollinisateurs et à la préservation des services de pollinisation lors de l’utilisation des produits phytopharmaceutiques, aussi appelé arrêté abeilles, fixe des mesures sur l’utilisation de produits phytosanitaires dans le but de protéger les insectes pollinisateurs et les services agricoles et écosystémiques rendus des risques liés à l’utilisation de ces substances. Par décision du Conseil d’Etat du 26 avril 2024, les cultures de lentilles, de pois, de soja et la vigne sont désormais considérés comme étant des cultures attractives pour les pollinisateurs.  Les règles générales : l’application d’un produit autorisé sur une culture attractive en floraison doit être réalisée dans les 2 heures qui précèdent le coucher du soleil et dans les 3 heures qui suivent le coucher du soleil.  tous les produits phytopharmaceutiques sont concernés : insecticides, acaricides, fongicides, herbicides ainsi que les adjuvants à l’exception des produits d’éclaircissage. une liste de cultures non attractives a été définie. Toutes les cultures non mentionnées dans cette liste sont considérées comme visitées par les abeilles en période de floraison et font l’objet de règles spécifiques. La liste des cultures non attractives actualisée : céréales à paille (avoine, blé, épeautre, riz, etc.) autres céréales (hors sarrasin et maïs) les graminées fourragères le houblon la pomme de terre  Pour mieux comprendre cette réglementation consulter le flyer « Mieux comprendre l’arrêté abeilles » ci-dessous :  Mieux comprendre l’arrêté abeille Suivant les types de cultures : Pour vous aider à décrypter plus précisément l’arrêté du 21 novembre 2021, le réseau des ADA, l’ITSAP-Institut de l’abeille et la Chambre d’Agriculture France ont travaillé de concert pour vous proposer des fiches par type de cultures. Retrouver l’ensemble de ces fiches consultables ci-dessous. Fiche 1 : Pourquoi protéger les pollinisateurs ? Fiche 2 : Les règles générales Fiche 2 bis : Bible du conseiller Fiche 3 : les grandes cultures considérées comme attractives Fiche 4 : vignes Fiche 5 : Vergers Fiche 6 : destruction des converts (intercultures et autres)

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Observatoire des Mortalités et des Affaiblissements de l’Abeille mellifère (OMAA)

L’Observatoire des Mortalités et des Affaiblissements de l’Abeille mellifère (OMAA) a été mis en place fin 2017 dans certaines régions. En 2023, le déploiement s’est poursuivi dans 5 nouvelles régions dont l’Ile-de-France.  OMAA permet de :  surveiller en « temps réel » l’état de santé du cheptel apicole d’Ile-de-France alerter, analyser et synthétiser des événements d’affaiblissement et/ou de mortalités des abeilles pour les acteurs en charge de l’état sanitaire des abeilles (pouvoirs publics, structures apicoles à vocation sanitaire, vétérinaires) offrir aux apiculteurs constatant un événement de santé sur leur cheptel un diagnostic et des conseils sur la marche à suivre pour : améliorer la compréhension des affaiblissements et des mortalités des abeilles par le recueil de données mettre en place des mesures de luttes contre les facteurs d’affaiblissement et de mortalité améliorer les pratiques apicoles et agricoles Procédure : Appel au guichet unique régional (01 86 86 00 25 en Ile-de-France) Un vétérinaire diplômé en « Apiculture – Pathologie apicole » réceptionne et enregistre la déclaration et l’oriente vers l’un des trois réseaux d’investigation (danger sanitaire, suspicion d’intoxication, autres troubles) pour déclencher si besoin une visite du rucher. Visite du rucher et enquête dans le but d’établir un diagnostic sanitaire et technique. Des échantillons peuvent être prélevés pour analyses pathologiques et technologiques.   Cette démarche est gratuite et ouvert à tous les apiculteurs. Les analyses ne sont prises en compte que si les ruchers concernés ont été conduits selon les bonnes pratiques apicoles, c’est à dire, à minima, bénéficiant d’une surveillance et d’une lutte contre Varroa destructor. Le but d’OMAA n’est pas de surveiller les apiculteurs et leurs pratiques, ni de trouver des responsables pour les mortalités observées. L’objectif est de recenser les troubles et de surveiller les épidémies, afin de préserver au mieux le cheptel apicole français.

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La filière apicole en Ile-de-France

Les chiffres clefs de l’apiculture francilienne D’après les déclarations de ruches auprès de la DGAL en 2023, la région Ile-de-France comptabilise : 2 950 apiculteurs, soit 4,7% des apiculteurs français 45 apiculteurs possédant plus de 150 ruches, qui sont qualifiés de « professionnels », dont 13% d’apicultrices 46 498 colonies, détenues à 42% par des apiculteurs professionnels. Nous observons un recul du nombre d’apiculteurs : – 13% toutes catégories confondues en 3 ans, malgré un nombre de colonies stable.    Nombre d’apiculteurs professionnels par département Les Yvelines est le département comptant le plus d’apiculteurs professionnels, avec 18 exploitants, suivi par la Seine-et-Marne avec 12 exploitants, l’Essonne avec 10 exploitants et enfin le Val d’Oise avec un unique exploitant. Aucun apiculteur professionnel n’a été recensé en Hauts-de-Seine en 2023. Production de miel  La production régionale, fluctuante suivant les années, varie entre 400 et 1 000 tonnes de miel.  En 2023, 843 tonnes de miel ont été produites en Ile-de-France, soit environ 2,5% de la production française (33 900 tonnes). Les principaux miels produits en Ile-de-France En plus des miellées toutes fleurs de printemps et d’été, des miellées spécifiques d’acacia, de châtaignier, de tilleul et de sarrasin sont possibles en Ile-de-France. D’autres produits de la ruches sont aussi proposés par certains apiculteurs de la région : gelée royale, pollen, propolis, etc. Bilan de campagne Miel FranceAgrimer BILAN DE CAMPAGNE MIEL 2020 – FRANCEAGRIMER BILAN DE CAMPAGNE MIEL 2021 – FRANCEAGRIMER BILAN DE CAMPAGNE MIEL 2022 – FRANCEAGRIMER Observatoire de la production de miel et de gelée royale Observatoire de la production 2022 de miel et de gelée royale OBSERVATOIRE DE LA PRODUCTION 2021 DE MIEL ET DE GELÉE ROYALE Estimation de la production par ADA France Estimation de la production 2023

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